HOPKINSON SMITH

Hopkinson Smith has been called the most moving of present day lutenists...he approaches the lute's universe with a musicality which goes far beyond the seemingly limited voice of his instrument. We invite you to explore on this website the magic of his lute and its music.

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Bach: Suites Nos. 1, 2 & 3

Like many other composers of his time, Johann Sebastian Bach (1685-1750) reused and rewrote much of his earlier material, often transcribing entire works for new instruments. So it probably would not have surprised him that musicians today are doing the same things with his music. Theorobist Hopkinson Smith follows up his successful album of Bach's Cello Suites 4, 5 & 6 transcribed for lute with the present disc of Nos. 1, 2 & 3, saying he transcribed the latter for theorbo because he finds the instrument more ideally suited in sound and aesthetic to the first three suites.

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Disque - Hopkinson Smith, Suites pour violoncelle

Peut-on fondre en larmes à l’écoute d’un disque ? Essayez donc celui-ci. En quelques accords et quelques mesures, le grand, l’immense Hopkinson Smith vous transporte en apesanteur hors du monde, hors de ce monde. Hors d’un univers de frénésie, sur une planète où le temps est relatif et où le silence a droit de cité. Ce n’est pas la première transcription pour théorbe des Suites pour violoncelle. Pascal Montheillet y brilla il y a 12 ans. Hopkinson Smith ne brille pas : il irradie la ferveur musicale. Rien de plus disparate que les deux approches : Montheillet bouillonnant, sonore, dansant ; Smith méditatif, épuré, seul sur scène face à la musique et à la vie. Et c’est lui qui décrit le mieux le miracle : « Les tempos risquent parfois de surprendre […] [car] le silence au-delà de la musique est l’ami et le compagnon éternel de tout joueur d’instruments anciens à cordes pincées. » Merci pour la grande leçon ! 

by Christophe Huss (Le Devoir)

Au delà de l’authentique

N’en déplaise aux zélotes de l’authenticité, il faut savoir parfois trahir la lettre pour mieux trouver l’essence. Hopkinson Smith, qui n’est pas le premier à jouer les Suites pour violoncelle de Bach sur un théorbe, aurait pu attirer sur lui les foudres des gardiens de l’orthodoxie. Mais après avoir écouté sa version, on dirait presque que ces pages ont été bel et bien écrites pour cet instrument.

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Hopkinson Smith, Bach: Suites Nos. 1, 2, 3 (Naïve)

Bach's cello suites are particularly well suited to these transcriptions for the German theorbo by master lutenist Hopkinson Smith: the instrument's longer strings, combined with the full, resonant quality of its dozen double-string courses, allow for a much more satisfying representation of the lower registers than a standard lute could afford, and more ably realise the chordal intimations of the cello parts. In some ways, they improve on the originals, the nimble interplay of plucked lines imparting a rolling momentum to the performance not possible on the cello. This is especially evident in the Suite No 1, which includes the most natural and satisfying transcriptions in the Prelude and Gigue sections, which bookend the piece with its most potent melodies.

by Andy Gill (The Independent)

Un Gran Maestro

Se acabaron los fuegos de artificio que siempre acompañan a la música cantada y la Semana regresa a las tranquilas aguas de la música pura... o más bien purísima, porque cuando Hopkinson Smith apareció en escena con su precioso laúd de 13 órdenes y sonaron los primeros acordes en pianísimo del Prélude de Gaultier el Viejo, algo irreal se adueñó de la sala y, entre un silencio sepulcral, una música dulce, casi inaudible, fue abriéndose camino acariciando suavemente nuestros oídos y nuestros corazones. A continuación venía la obstinada chacona La cascada para empezar a poner a prueba las habilidades del maestro.

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Francesco da Milano: Musique pour le luth

L’incessante quête d’Hopkinson Smith à travers l’efflorescente littérature luthistique se fixe aujourd’hui sur Francesco Canova da Milano, le prodige choyé des Princes, de l’Empereur, et des Papes, de la première moitié du XVIe siècle. Smith propose un panel caractéristique de ce compositeur prolixe afin d’en révéler la diversité et la complexité, en associant, par groupe de trois, des pièces très élagroupe de trois, des pièces très élaborées, telles les fantaisies et les ricercar, à des pièces plus faciles, saltarello, gaillardes ou chansons ; une organisation qui tient en vigilance l’intérêt et l’écoute. Il n’hésite d’ailleurs pas à mettre la main à la pâte par des « reconstructions » de son crû, sur des chansons en vogue de l’époque, en donnant une telle parenté avec Da Milano que l’on s’y méprend.

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Dowland

On the frontispiece of many an early edition of Dowland’s works you can find Musica seated on a cloud, lute in hand, while Mercury gestures towards her from a fluffy promontory. It’s a nice image, and while I might be inviting a hail of feminist vituperation, there’s no question that the softly swelling curves of the lute reinforce its Renaissance reputation as the Queen of Instruments to the Kingly organ.

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New York Times - Dowland: A Dream

Before it was supplanted by the keyboard and the violin early in the 17th century, the lute was the touring virtuoso's instrument of choice, and the English composer John Dowland was probably its greatest player. Contemporary accounts suggest as much, as does the varied body of lute music he left behind, most of it vastly more colorful and inventive than that of his contemporaries anywhere in Europe. His Fantasies - essentially, written-down improvisations - are richly contrapuntal and full of captivating harmonic twists.

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Maître du luth, Hopkinson Smith sublime les airs de John Dowland

A de rares et très heureuses occasions, un concert peut révéler le rapport fusionnel existant entre le compositeur et son interprète. Le récital qui a ouvert vendredi à Genève le festival Luths et Théorbes en a été une. Il est 20 h 30 lorsque, dans le dépouillement extrême de l'Eglise luthérienne, fait son apparition la figure filiforme et élégante du luthiste d'exception qu'est Hopkinson Smith...

Le Temps, Geneva

Miami Herald: CD Review

[...]Smith is a master, and there is probably no one alive who can surpass the sheer splendor of what this man can do with the most often neglected of string instruments. His lute articulation is exquisite, his rhythmic control is as impressive as it is natural. Smith is also an intense, decidedly personal interpreter capable of bringing out the mystical depths of Marais and la Colombe as well as the fiendishly intricate details of this sometimes dangerously precious music. Here is the complexity of Bach peppered with more than a dose of Latin sweetness. [...] 

by Octavio Roca (The Miami Herald)

Pierre Attaignant Préludes, chansons & danses pour luth

Bien sûr aucune des pièces de ce superbe enregistrement n'est de Pierre Attaignant (c. 1494-1551/2). Ce courageux entrepreneur établi dès 1525 à Paris dans le quartier des écoles, qui finit, à force d'énergie et de talent, par devenir « libraire et imprimeur du Roy en musique » en 1538, a cependant mérité de figurer comme l'auteur des pages choisies par le luthiste américain Hopkinson Smith parmi la centaine de pièces du genre qu'il édita, et ce dès 1507.

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