Maître du luth, Hopkinson Smith sublime les airs de John Dowland
A de rares et très heureuses occasions, un concert peut révéler le rapport fusionnel existant entre le compositeur et son interprète. Le récital qui a ouvert vendredi à Genève le festival Luths et Théorbes en a été une. Il est 20 h 30 lorsque, dans le dépouillement extrême de l'Eglise luthérienne, fait son apparition la figure filiforme et élégante du luthiste d'exception qu'est Hopkinson Smith...
Le Temps, Geneva