"Hopkinson Smith, without doubt the finest lute player in the world today."
„Biorąc pod uwagę stopień zamieszania, w jakim przetrwały do naszych czasów dzieła Spinacina, niektórzy krytycy mogą uznać moją rekonstrukcję jego muzyki za herezję. Ale uznałem to za konieczne.” – pisze we wstępie do swojej najnowszej płyty Hopkinson Smith – „największy poeta lutni”, jak określił go magazyn Gramophone.
Hopkinson Smith, mito viviente del laúd y máxima figura internacional de la música antigua, ha ofrecido este viernes 31 de marzo el concierto más emotivo de la 41 Semana de Música Sacra de Segovia tras homenajear a Alicia Lázaro en la Cueva del Convento de San Juan de la Cruz.
Hopkinson Smith has served his historical time piecing together the disparate threads in convincing fashion, stringing his lute in an early 16th-century-type style which suits his refashionings. Like any foray into a somewhat nebulous past, his is the work of the conservator, carefully assembling the fragments with metaphorical tweezers, but also that of the artist, reviewing, remaking.
ANY JOAN CARLES I AMAT. Hopkinson Smith, llaüt renaixentista i guitarra de cinc ordres; Sílvia Bel, recitadora dels Aforismes de Joan Carles i Amat. Obres de Joan Ambrosio Dalza, Francesco Spinacino, Pierre Attaignant, Anthony Holborne, Gaspar Sanz. MUSEU DE LA MÚSICA. 25 DE SETEMBRE DE 2022.
Dass ein leises Instrument wie eine Renaissance-Laute an einem Sonntagvormittag die Aufmerksamkeit von Hunderten im Minoritensaal auf sich ziehen kann, liegt ausschließlich an dem, der sie so meisterhaft zu spielen versteht: Einmal mehr durfte sich das styriarte-Publikum über ein Gastspiel von Hopkinson Smith freuen.
Zarte Klänge für harte Zeiten: Die Lautenmusik der Renaissance zählt ja zu den anmutigsten Pflänzchen im Konzertleben.
Premier volet de nos entretiens avec le luthiste américain Hopkinson Smith. Dès son plus jeune âge la musique est omniprésente. Il commence par l’apprentissage du piano. Plus tard, pour les besoins de la fanfare du lycée, il sera amené à jouer d’autres instruments : cor, trompette, guitare...
Una mañana de intenso calor ha caracterizado esta jornada del sábado, conduciéndonos al Hospital Real, donde el Festival ha programado un interesante concierto en el que tanto el laúd como la vihuela han sido los protagonistas indiscutibles.
En approchant Hopkinson Smith, on est d’entrée titillé par une question relevant quasi de l’éthologie. Et si l’instrument touché et bichonné une vie durant finissait par imprimer ses traits sur le tempérament du musicien? Et si l’un et l’autre glissaient progressivement vers une ressemblance frappante, comme on pourrait le constater par exemple auprès des chiens et de leurs maîtres? À défaut de pouvoir corroborer l’hypothèse, on se contentera de dire qu’avec le luth, l’artiste américain a trouvé un miroir, une projection et un prolongement en bois et en cordes de sa personnalité. Cela commence par la voix, aussi discrète et ronde que l’objet pincé, et se poursuit par la modestie du personnage, qu’on associera à la projection sonore tout à fait humble de l’instrument.